Critique de Mass Effect Andromeda par Isïana

Mai 18, 2017 No Comments by

Mass Effect Andromeda : Critique d’un jeu dans une galaxie lointaine, très lointaine !

Oui, elle était facile celle-là, mais j’assume ! Comme les spoilers qui suivront ! Et inévitablement, les comparaisons avec les opus de la trilogie seront légion (non, rien avoir ce Geth là, rassurez-vous !). Enfin, un peu.

Pour mettre dans le contexte, ayant suivi la moindre miette de contenu annoncé – ou fuité – pour Andromeda avant la sortie du jeu, dans l’intérêt derrière du forum RP, on va dire que je savais globalement vers quoi m’en tenir. Je dis globalement, parce que dans le détail, on en était loin ! Cela étant, quand on t’annonce que le jeu ressemblera à Mass Effect 1 (mon préféré et de loin) mais avec un contenu égal aux deux derniers de la trilogie, avec un gameplay de combat du 3ème et l’exploration du 1er … (ça va, vous arrivez toujours à suivre ?) … autant dire que je dis BANCO sans réfléchir !

Ah et je ne joue que des Fem(Shep)Ryder ! Et sur PC ! Evidemment !

Spoiler Mass Effect Andromeda Critique

Création de personnage et tutoriel prologue

Quelque soit le Mass Effect, le créateur de personnage a toujours été un soucis pour moi. A savoir l’éternelle question : « Vais-je réussir à faire un personnage pas trop moche ? » Et pour le coup, je dois dire que j’ai été assez satisfait du rendu, trouvant rapidement quelque chose qui me plaise. Par contre, gros point noir sur la création du personnage dès qu’il s’agit de la palette de couleurs notamment. Autant je peux concevoir que ça soit très bien sur consoles, autant sur PC c’est immonde. J’ai pas d’autres mots. Contre-intuitif au possible et pas des plus pratiques.

Mais bon, passons, je finis quand même par arriver à trouver comment ça marche juste le temps que ça commence à m’agacer pour lancer la partie. Ayant déjà vu les 10 premières minutes de gameplay, je ne me suis pas trop attardé là-dessus. Surtout qu’on ne va pas se cacher que la ressemblance avec le prologue de Mass Effect 2 du vaisseau en perdition, ça m’avait clairement refroidi. Ah oui j’oubliais, je n’aime pas du tout Mass Effect 2 ! Mais bon, ça met tout de suite dans l’ambiance et là, au moins, on a pas le coup de l’organisation terroriste milliardaire qui ressuscite une personne pour un projet de fou (j’ai dis que j’aimais pas ME2 ?).

N’est-elle pas mignonne ? Non ?

Bref, clairement le passage sur l’Hyperion pour s’habituer au gameplay primaire (déplacement, interaction) et se mettre dans l’ambiance. Là-dessus, c’est réussi, rien à redire ! Bon, du coup, allons donc sur notre nouveau monde ! Euh … oups ? Autant par moment les dialogues et les réactions des personnages auront pu durant le jeu être à côté de la plaque, autant ce début est une parfaite immersion et colle parfaitement à l’ambiance et contexte. Mention spéciale pour Liam ! (Profitez-en, il aura pas droit à un compliment avant un moment maintenant !)

On découvre aussi vite ce dont on pouvait se douter: on fait face aux méchants pas beaux l’histoire, j’ai nommé les Kerts. Certains pourront trouver ça ridicules, mais j’ai trouvé justement ces petits moments d’indécision où les membres de l’Initiative hésitaient à tirer intéressant. Pour rappel, il était ordonné aux explorateurs de ne tirer qu’en cas d’hostilité avéré. Pour le coup, il n’y a clairement pas eu d’ambiguïté avec les Kerts !

Ce qui moi m’a clairement déplu, on va être honnête, c’est la façon dont meurt Alec et ce que cela implique derrière. Clairement … pas grand chose. Je veux dire, je comparerai limite ça aux rêves (absurdes) de Shepard dans Mass Effect 3. Alors oui, c’est pour qu’ensuite ça soit nous derrière qui récupérions SAM et soyons le pionnier. Mais pas comme ça ? C’est quoi cette mort nulle ? « Oh bah j’ai activé un truc totalement inconnu, ça a foutu le bordel,  ma fille a plus son casque et elle va mourir, je le lui donne et moi je meurs. »

Petite aparté Initiative Andromeda

Soit dit en passant, et je pense que c’est clairement ce qui m’a gêné pour le démarrage du jeu, encore plus après quand on apprend ce qu’il arrive au Nexus, c’est le fait que tout le contenu donné dans les briefings de l’Initiative Andromeda ne servent quasiment plus à grand chose. Cela partait d’un bon sentiment, monter un peu l’engouement des futurs joueurs, les mettre un peu dans le bain …

Sauf qu’au final, exit Alec, exit Garson, exit … exit. Mais quel intérêt du coup ? Alors oui, c’était tellement tout beau, tout rose – surtout en l’opposant au trailer – c’était évident qu’il y avait avoir des divergences entre le théorique et le réel en jeu. Mais là c’est quand même l’extrême inverse ! Je ne sais pas, c’est comme si pour Mass Effect 1, on aurait eu à l’avance tout un exposé sur les Geths avant l’Exil des Quariens. Absurde !

Cela reste un détail (surtout pour ceux qui ne se sont pas intéressés aux briefings), mais ça m’a quand même pas mal gêné sur le démarrage, passant d’un départ en trombe à une douche froide.

 

Gérard, rallume le Nexus, s’te plait !

Oui, donc forcément, quand tu t’attends à un magnifique Nexus plein de vie, déjà opérationnel et tout, et tout … et que tu as l’impression de tomber dans la Citadelle après le passage des Moissonneurs, ça fait un petit choc. Mais bon, je mets ça de côté, un peu de ma faute si j’espérais trop ! Du coup, objectivement, le départ sur le Nexus est assez sympathique … ah en fait … sympathique quand tu comprends comment marche la carte pour passer d’un niveau à un autre. Personnellement je n’ai pas eu de soucis pour me déplacer … non … la problématique portait davantage sur comprendre où on doit aller pour telle ou telle quête ! Le plus horrible restera sans nul doute l’accès au tram SOUS le poste de commandement. Histoire de bien galérer les premières heures de jeu à comprendre si tu dois aller l’autre relou d’Addison ou changer de coin !

ça fait peur hein ? Bon, vous me direz, la Citadelle n’était pas mieux en fait …

Pour reste sur le Nexus tout de même, j’ai trouvé bien sympathique l’évolution de la station au fur et à mesure des quêtes « principales » et les dialogues ambiants. Par exemple le fait de voir des Angara arrivés quand on leur demande de venir, ce genre de chose. Mais à côté de cela, je n’ai pas trouvé le Nexus si indispensable que cela, je me serai attendu à plus. A part les quêtes secondaires et aller voir les chefs, je n’ai pas trouver vraiment trop de raison de m’y attarder. Du coup, une fois que j’avais fait le tour des quêtes secondaires au début du jeu du Nexus, je n’y ai presque plus foutu les pieds.

Espace, exploration et avants-postes !

I’m in spaaaaceeeee

Haaa … quelle belle animation pour passer d’une planète à une autre ! C’est joliiiii ! OUI MAIS C’EST CHIANT !* Pour illustrer mon parcours, je voulais absolument finir l’histoire vite, mais sans non plus délaisser les quêtes secondaires. Ce qui m’a fait faire des yoyos bizarres entre 100% d’une planète à je rush l’histoire à revenir faire 100% d’une autre planète … en délaissant l’exploration des systèmes anecdotiques … jusqu’à ce que je me décide un peu avant la mission finale de faire quand même le tour des systèmes … VINGT-CINQ SYSTÈMES (je vous arrondis, ça devait être 28 ou 29) que je me suis fait en 2 heures d’affilé. Vous trouviez les minerais de ME1 chiants ? Vous trouviez le scan de ressource de ME2 chiants ? Sincèrement, à côté, ça passe tranquille … Mais c’est joli !

Le coup de gueule passé, j’ai trouvé l’aspect spatial vraiment très sympathique. Les bonnes idées des 3 opus ont été conservées tout en virant l’aspect pénible et répétitif (si on s’y intéresse). Petit bémol sur le codex assez expédié j’ai trouvé, on aurait pu s’attendre à mieux.

*NB : Heureusement patché depuis, mais quand même !

 

L’as-tu vu le beau Nomade ?

Non, je ne ferai pas la blague de dire Mako ! Non ! Parce qu’il n’a pas de canons ! Car à part le fait qu’on puisse jouer à Pimp my Ride version futuriste – amusant 30 secondes – y a peu de différence. Je veux dire par là que le fondement reste le même. Après oui, jouer au Nomade dans Andromeda par rapport au Mako dans ME1, c’est quand même être passé de la camionnette à la bonne petite voiture de course. Cela étant, ironiquement, n’ayant jamais eu de problème à conduire le Mako dans ME1, j’ai parfois eu plus de prises de tête avec le Nomade pour me rendre à certains endroits (si, si, je vous jure).

Vrouuuuum !

Skyrim in space

Les comparaisons peuvent être nombreuses et variées, mais c’est clairement Skyrim qui m’est venue en tête en premier en voyant la manière dont a été agencé l’exploration des planètes (d’avant-postes). J’ai vraiment bien aimé le principe, ça changeait quand même clairement des maps horriblement vides du premier opus (vu qu’il n’y a qu’avec lui qu’on peut comparer). Mais à l’inverse, parfois c’est même presque un peu trop. Surtout sur des mondes « fermés » comme Kadara ou Harval.

Ce qui est par contre bien plus pénible, ce sont les allers-retours incessant à faire d’un endroit à l’autre, ou d’un monde à l’autre en fonction de la quête demandée … ou si une quête tertiaire (car oui, y en a, c’est vraiment du secondaire de secondaire) te saute à la gorge d’un coup. Sincèrement, passée la 3ème planète, je me contentais d’aller débloquer les points de TP avant de faire le reste. Un réflexe sur du MMORPG par exemple, mais clairement pas sur un Mass Effect. Un coup à prendre, mais bon, cela aurait été bien de pouvoir s’en passer je pense !

 

 

Les avant-postes

Alors nous rentrons dans le vif de la nouveauté en terme de gameplay : les avant-postes. La grande curiosité d’Andromeda. Et je dois dire que quand j’ai vu le premier apparaître sur Eos, j’en avais plein les yeux ! C’est tout bête, mais voir enfin une petite ville miniature dans une planète au départ hostile et où tu as bataillé des heures en jeu pour la rendre viable, clairement, ça fait plaisir ! Et puis le temps passe, tu réitères avec Voeld, tu as l’originalité de Harval … et puis … eh bien tu comprends que c’est juste le end game de la planète. Qu’une fois que tu as fais ça, tu n’as plus raison de venir ici. Et ironiquement, c’est pesant.

Surtout celle-là, qu’est lourde comme colonie !

Pourquoi ? Car au fil du jeu, j’ai eu le sentiment de le finir plusieurs fois. Même si on peut séparer et faire l’histoire sans se préoccuper des colonies (même si cela des conséquences derrière), « l’esprit » Mass Effect fait que j’ai plutôt tendance à tout faire avant. Et, même si on a tout le long du jeu des quêtes secondaires (ou pas d’ailleurs) qui nous renvoient un peu partout – et soit dit en passant arriver à la 30 ou 40ème heure de jeu, ça en devient pénible -, malgré tout, le gros d’une colonie est fait d’un bloc. Si je devais comparer ça à un autre jeu Bioware, j’ai vraiment eu le sentiment d’une progression à la Star Wars : The Old Republic (à sa sortie du jeu en 2012 en tout cas, depuis, je ne sais pas ce qu’il en est).

Alors on pourra me dire : oui mais Mass Effect 1 dans le fond c’était pareil ! Eh bien, non. Car dans Mass Effect 1, à la différence d’Andromeda, les planètes de quêtes principales (Novéria, Thérum, Féros puis Virmire) restaient des couloirs en terme de gameplay. Ce qui ici dans Andromeda correspondrait aux quêtes de loyauté, d’ailleurs. Mais les explorations de planète étaient purement secondaires.

Au final, si je devais faire une conclusion, ne serait-on pas passé d’un extrême à un autre ? De couloirs et maps vides ne sommes-nous pas passés à des maps trop vaste et denses ?

 

Amour, gloire et loyauté !

Bon, la gloire, peut-être pas. Mais pour l’amour et les quêtes de loyauté, clairement, Andromeda pour moi surpasse de loin la trilogie. Enfin, pour la loyauté, il n’y avait que Mass Effect 2 qui l’employait. J’avais d’ailleurs trouvé ça complètement à côté de la plaque (rappelons quand même qu’on est sensé être dans un contre-la-montre en permanence, alors aller faire la nounou pour la sœurette de Miranda, vous m’excuserez, mais le rapport avec le fait de sauver des colonies humaines des Récolteurs est proche du néant absolu). Là, dans Andromeda, au moins, déjà c’est facultatif (j’avais fait que celle de Vétra en fait avant la fin de l’histoire !), et surtout, il y a moins cette notion « d’urgence ».

Du coup, vous l’aurez compris, j’ai fais (quasiment, donc) toutes mes quêtes de loyauté – et donc ma romance – après la mission finale. Et oui, c’est possible ! Et là, clairement, bravo à Bioware, ils l’avaient dit, ils l’ont fait … en plus, certains dialogues sont changés pour prendre en compte la fin. C’est tout bête, mais ça fait plaisir ! Pour les romances en soit, j’ai trouvé déjà bien de savoir à l’avance vers quoi tu tends en terme de dialogue (après qu’on se prenne une veste, c’est un autre problème). Parce que dans la trilogie, c’est arrivé plus une fois que je n’en déclenche une sans le savoir à l’avance !

J’en profite pour parler des personnages. Liam, cité plus haut, que j’ai trouvé à côté de la plaque tout le temps. Eh bien ironiquement, je pense que si la quête de loyauté avait été faite dès le début, ça serait mieux passé. Idem pour Cora et son asarisme aïgu. J’ai beau moi-même adoré ces petites bouilles bleues, il y a des limites (cela ne surprendra personne si ma romance est Peebee ?). Sortis de ces deux-là, oui bah en fait, les 2 compagnons humains (je sais pas ce qu’ont Bioware avec les coéquipiers humains, mais sur les 3 opus de la trilogie, AUCUNS ne m’ont satisfait. Fou, non ?), tous sont attachants, à leur manière. Après, on aime ou on aime pas le profil de chaque équipier, chacun ses goûts. Mais que ça soit nos équipiers mais même (et il était enfin temps) parmi les membres d’équipages du Tempest (oui, j’en ai pas parlé, parce qu’à part le Normandy en mieux agencé, je ne vois pas trop quoi dire de plus), on sent qu’il y a eu une recherche d’écriture plus poussée que dans la trilogie, et c’est très appréciable.

Je ne rentrerai pas dans le détail de la scène de sexe mais :

L’histoire

Car oui, c’est bien beau de pinailler sur le détail, mais quand on joue à un Mass Effect, normalement, c’est pour son histoire (ou ses scènes de sexe, tout dépend, j’en conviens). Là-dessus … eh bien, à froid, je ne sais trop quoi en penser. Pourquoi ? Parce que oui, techniquement, on a fini l’histoire : s’installer sur Andromède, faire des rencontres pacifiques (bon, il n’y a qu’avec les Angara, mais passons), mettre le Nexus en marche. Oui, c’est ça le but du jeu quand même, n’oublions pas !

Heureusement, nous avons les Kerts et l’Archonte pour foutre le bordel, une civilisation disparue, les Prothé… euh, je voulais dire les Jardaan, avec une technologie de malade (oui, pour celui qui dort au fond de la salle, ceux sont eux qui ont créer à la fois les Reliquats et les Angaras). Honnêtement, tout le long du jeu, j’ai été porté par l’histoire. Ce n’était pas du révolutionnaire, mais clairement ce qu’il fallait pour construire la base d’un nouvel univers. Et … ?

C’est clairement cette interrogation qui m’a en quelque sorte frustré à la fin du jeu. On a trop d’inconnu. Avec Mass Effect 1, d’éventuelles suites étaient claires : cela tournerait autour des Moissonneurs, potentiellement des Geths s’ils voulaient leur revanche (on saura dans le 2 que non). Là, on a une inconnue totale des Jardaan. Pacifiste ? Non pacifiste ? On a une chose de sure, c’est que les Kerts vont forcement revenir. Même si là aussi, sur eux, on ne sait pas grand chose à part qu’ils ont un système impérial à la Prothéen, en plus extrême, puisqu’au lieu d’asservir ou éliminer les races, ils les transforment/clonent version récolteurs. Oui, encore un clin d’œil (voulu ou non) à la trilogie. Et c’est sans parler du futur DLC (le contraire serait étonnant) avec l’arrivée de la 5ème arche (qui sort de nul part, d’ailleurs, soit dit en passant) … mais qui est là, mais qui veut pas être là ? Hein ? Quoi ?

Bref ! Nous verrons bien par la suite ! Mais c’est bien là la première fois que pour un Mass Effect – et je pense un jeu vidéo tout court – je sors avec bien plus d’interrogations que de réponses.

Les races d’Andromeda

Oui, parlons-en ! Eh bien, cela va être rapide : Kert et Angara. Pour un univers comme Mass Effect, c’est horriblement pauvre. Alors, oui, l’explication se tient : on est dans un secteur et non la galaxie. Et, la seule rencontre des Angara avec une autre race sont les Kerts. A partir de là, c’est cohérent. Mais tout de même ? Pas un seul réfugié d’une autre peuplade ? Non ? L’Empire Kert est puissant à ce point-là ? C’est là où pour moi ça bloque un peu. Cela aurait vraiment mérité d’avoir une ou deux autres espèces, à minima …

Ah bah non, j’oubliais, sinon on ne serait pas vu comme de sales vilains aliens ! Mouais … un peu de facilité là-dessus !

Le multijoueur !

Eh bien, oui, depuis Mass Effect 3, il y a un mode multijoueur, il convient donc d’en parler ! Et donc … bah … c’est comme Mass Effect 3. Voilà. Je pense que j’ai tout dit. *rend le micro* Oui, bon, j’exagère, il y a les pouvoirs, l’esquive, le jet pack d’Andromeda. Il y a les armes blanches différentes, forcément les nouveaux ennemis et cartes d’Andromeda … c’est bon, j’ai fait le tour du multi ? Plus sérieusement, la plupart des soucis de lags ont visiblement été réglés (pouvoirs qui se lancent pas/n’affectent pas l’ennemi, « l’aspirateur » des ennemis qui te OS alors que t’étais hors de portée). Mais clairement, ça ne vaut pas la peine de s’appesantir là-dessus.

 

En conclusion

Même si j’ai ressorti surtout les points négatifs, Andromeda regroupe toutes les bonnes choses des trois premiers opus de la trilogie. Certains choix sont discutables, certains points graphiques sont clairement discutables (l’animation faciale humaine à la sortie du jeu n’étant pas digne d’un jeu de 2017) mais dans l’ensemble ça reste un excellent Mass Effect et un bon jeu. Il ne restera peut-être pas dans les annales du jeu vidéo mais il faudrait être de mauvaise foi pour dire qu’il est très mauvais.

Reste maintenant à savoir comment il évoluera, les DLCs qui sortiront (s’il y en a, même si le contraire me surprendrait vraiment), les prochains jeux Mass Effect (là aussi, s’il y en a). Mais même, pris tout seul, il est sympathique à jouer. J’ai quand même fait 60 heures de jeu (96% … vous l’aurez deviné, ils me manquent les quêtes tertiaires à la con sans indice et celles buguées), j’ai pas souvenir de m’être ennuyé une seule fois (à part pour la partie espace, cela va de soit).

Donc, moi, ma note serait un bon petit 16,5/20.

Mass Effect Andromeda

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